Ne pas plier
Finesse du tableau représentant de manière exemplaire les dégâts du racisme ambiant sur la communauté noire, minant le tissus social. La violence n'est jamais graphique*, toujours verbale, sans aucun...
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le 4 juin 2024
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Satire politique d'un monde communiste s'ouvrant à peine sur l'occident. L'un anxiogène, sombre, nauséeux, putride, mécanique et absurde, surréaliste, l'autre tout aussi déprimant par artificialité, d'une apparence lumineuse, acidulée, moderne, oisive, artificiel. Un personnage appartenant au premier, ne cesse de passer de l'un à l'autre, une simple porte les séparant. Episode introductif symbolique se déroulant auprès d'autochtones aux visages identiques, protégeant leur regard de leur main tandis qu'une entité lumineuse aveuglante surgit par le biais d'une porte s'ouvrant. Un intrus parmi eux ne résiste pas à la tentation d'entrouvrir les doigt pour observer.
Rq: Quelques longueurs et répétions superflues. 6,5/10
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Créée
le 8 mai 2024
Critique lue 13 fois
Finesse du tableau représentant de manière exemplaire les dégâts du racisme ambiant sur la communauté noire, minant le tissus social. La violence n'est jamais graphique*, toujours verbale, sans aucun...
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le 4 juin 2024
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(Vu version de 120 min et non la longue de 5 heures*)Au-delà du choc terrible provoqué par l'immersion dans le dénuement le plus frontal de ces campements misérables, et la violence absolue de...
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le 13 janv. 2024
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2
Curieux comme il arrive que l'on fasse parfois se succéder au visionnage, par pur hasard, des films se répondant. Je savourais il y a deux heures l'animiste "Hors Satan" et voilà que reviennent tel...
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le 29 sept. 2023
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