(qui rappelle lui-même le mythe d'Icare)
... Ou peu s'en faut. Tenez : un jeune poète Lost in Illusions ayant vu ses Marguerites être envoyées sur les roses par un éditeur au ras des pâquerettes se convertit à la religion des coupeurs de tête ; avant de perdre la sienne, ayant signé un contrat avec Le Corsaire-Satan (nom de son journal).
J'avais une curiosité pour le roman de Balzac, volé au CDI de mon collège quand j'étais adolescent, mais que je n'avais jamais lu (j'ai depuis reporté ma kleptomanie sur les boîtes aux livres -que je ne lis toujours pas d'ailleurs, préférant voir des films-)...
Je retiendrai surtout (mais pas uniquement, soyons honnête) de son adaptation cinématographique l'impression qu'elle m'a parfois donné de m'être égaré sur une plage naturiste.
PS : L'auteur dont il est principalement question dans ce long métrage est né deux siècles trop tôt sans doute, car la RATP se serait fait une joie d'éditer ses poèmes...