Western un peu simplicte
On est sur un film hommage aux western de S. Leone (un homme solitaire vient chercher vengeance) mais...raté... L'histoire est simple et prévisible, rien d’exceptionnel mais ça reste peu...
le 17 nov. 2016
7 j'aime
Le réalisateur Ti West aurait paraît-il ici voulu rendre hommage au western.
Au final, il en signe une parodie involontaire.
C'est dire le niveau de maîtrise de son sujet...
Hésitant entre comédie, drame (et même gore) sans jamais trouver le ton juste,
il ne fait démarrer son intrigue
le désir de vengeance du héros suite à la mort violente de sa chienne adorée
qu'à la moitié du film.
La fluidité du récit est épouvantable. Ça sent tellement l'amateurisme que l'on croit entendre le lancement du clap avant chaque scène, souvent servie par un casting riquiqui et peu convaincant.
Si Ethan Hawke s'en sort honorablement, l'acteur qui joue le psychopathe de service est au mieux risible, celui qui incarne son père (John Travolta) semble lui aussi vouloir pouffer dès qu'il l'ouvre, et les deux actrices sont crispantes tellement elles surjouent.
Les dialogues sont filandreux, inutiles, et font douloureusement traîner pendant 104 minutes ce pathétique travail de potache.
On m'eût dit, dès le départ, que le lonesome cowboy (Hawke) serait affublé du patronyme Paul McCartney et confronté à un total de quatorze acteurs/figurants dans une ville fantôme façon Playmobil, je me serais sans doute abstenu...
Créée
le 23 août 2021
Critique lue 316 fois
6 j'aime
5 commentaires
On est sur un film hommage aux western de S. Leone (un homme solitaire vient chercher vengeance) mais...raté... L'histoire est simple et prévisible, rien d’exceptionnel mais ça reste peu...
le 17 nov. 2016
7 j'aime
Le réalisateur Ti West aurait paraît-il ici voulu rendre hommage au western. Au final, il en signe une parodie involontaire. C'est dire le niveau de maîtrise de son sujet... Hésitant entre comédie,...
le 23 août 2021
6 j'aime
5
Qui est le film ? Réalisé en 2016 par Ti West, In a Valley of Violence s’inscrit comme une parenthèse dans la carrière d’un cinéaste plutôt connu pour ses expérimentations dans le cinéma d’horreur...
Par
le 27 juin 2025
5 j'aime
Après être parvenu à tenir pendant les vingt premières minutes d'une course poursuite à Florence --- allégorie involontaire de la laideur* investissant (et saccageant) la beauté ---, je me suis dit...
le 17 déc. 2019
32 j'aime
1
La pauvre Nia DaCosta a encore et toujours les abeilles...Que sa colère soit sincère ou pas, elle en oublie (presque) le cinéma, ici, à force de chevaucher la Propagande, de faire de la retape pour...
le 18 sept. 2021
30 j'aime
28
24 heures du quotidien de trois jeunes de banlieue, sous forme implicite de compte à rebours... Entre les personnes qui honnissent Kassovitz (et sont incapables de jauger La Haine autrement qu'à...
le 24 mars 2020
30 j'aime
24