SensCritique a changé. On vous dit tout ici.

Innocence : Ghost in the Shell 2
7.2
Innocence : Ghost in the Shell 2

Long-métrage d'animation de Mamoru Oshii (2004)

esthétiquement c'est le film le plus impressionnant de Mamoru Oshii. au niveau du scénario c'est un film de nature à décourager plus d'un spectateur, c'est peut de dire qu'il est difficile à suivre , c'est encore plus compliqué si on a pas vu le premier long métrage "ghost in the shell" du même réalisateur et que l'on a pas lu le manga éponyme de Masamune Shirow dont il est l'adaptation . mais on peut regarder ce film sans chercher à tout comprendre, comme un beau cyber-poème hermétique .
zandoli
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste dessins animés pour adultes

Créée

le 7 mars 2013

Critique lue 353 fois

zandoli

Écrit par

Critique lue 353 fois

D'autres avis sur Innocence : Ghost in the Shell 2

Innocence : Ghost in the Shell 2

Innocence : Ghost in the Shell 2

le 13 mai 2010

Critique de Innocence : Ghost in the Shell 2 par Akshell

Une longue séance de branlette narcissique, parsemée de citations philosophiques hors de propos digne d'une copie du bac d'un élève médiocre, de scènes à couper le souffle, la parade, mais totalement...

Innocence : Ghost in the Shell 2

Innocence : Ghost in the Shell 2

le 1 juil. 2015

Déshumanisation

Quelque temps après les événements du premier Ghost in the Shell, Innocence nous emmène à nouveau dans cet univers où l'informatique a pris une place importante et échappé du contrôle des humains...

Innocence : Ghost in the Shell 2

Innocence : Ghost in the Shell 2

le 8 mai 2016

Transhumanisme cyberpunk et puppet master

Des Gynoïdes – d’ultra-modernes androïdes domestiques féminins – tuent leurs maîtres et s’autodétruisent, non sans avoir lancé un ultime appel à l’aide. La Section 9 est chargée de l’enquête. Mamori...

Du même critique

Peplum

Peplum

le 24 déc. 2010

Critique de Peplum par zandoli

une bd librement inspiré du "satiricon" de pétrone. un noir et blanc sophistiqué et virtuose , une narration limpide , une atmosphère décadente et prenante . sans doute le chef d'oeuvre de blutch ...

Casablanca Driver

Casablanca Driver

le 20 août 2013

Critique de Casablanca Driver par zandoli

le meilleur film que j'ai pu voir sur le sujet intemporel de la transmission de la bêtise collective.

Le Dernier Tango à Paris

Le Dernier Tango à Paris

le 24 déc. 2010

je ne veux rien savoir de toi...

une mélancolie fascinante , la face obscure et décadente du romantisme , une b.o qui donne le frisson , des acteurs qui existent plus qu'ils ne jouent... un de mes films culte. déconseillé aux moins...