hyper bien filmé, décors surchargés ambiance bourgeoisie orgiaque inspirée du marquis de sade et du 18ème siècle en europe, on peut y voir une critique sociale mais on peut aussi y voir les traumatismes infantiles d’un homme élevé par une tante astrid bizarre mais attachante, sans figure masculine et par une mère suant la luxure et l’excès avec laquelle il entretient un complexe d’oedipe qu’on ne nous laisse pas oublier avec quelques scènes très (très) limites moralement parlant…
pour appuyer le propos, nombreux sont les plans qui se confondent entre la mère du garçon et la femme de l’homme qu’il est devenu, il l’a cherche partout sans le vouloir mais rejette cette idée coûte que coûte pour aller de l’avant, les amis de sa défunte mère réapparaissent et assistent à son mariage, puis tout explose, il en peut plus, il a trouvé le moyen de laisser tout ça derrière lui, tout est pié, c’était pas des amis mais juste des gros crevards…. morale de l’histoire : on vit dans une société…..