Alors, pour ma part, je n'ai qu'une vraie question à la sortie de mon premier visionnage du film : qu'est-ce que c'est que ce truc, BORDEL ? Non parce qu'à peine une année avant, Roland Emmerich avait sorti « le principe de l'arche de Noé » qui était censé être son film de fin d'études et qui nous montrait infiniment plus de son talent que dans ce film.
Déjà, je ne sais pas si c'est la version que j'ai trouvée qui est bizarre, mais je me suis retrouvé avec un film à moitié en VF et à moitié en VO et, surtout, le scénario est digne d'un téléfilm de Noël, voire ce que passait TF1 le dimanche soir dans les années 80-90. Pour le reste, je ne sais même pas par où commencer. Le film n'a aucune crédibilité, la cohérence d'un discours de Donald Trump, le jeu d'acteur est, tout bonnement pitoyable et la morale est bateau. On a l'impression que le réalisateur a essayé par tous les moyens de montrer quelque chose de visuellement intéressant au détriment, de tout le reste, ce qui nous donne un résultat plus que décevant et clairement incompréhensible.
Pour conclure, je dirais qu'il y a, l'air de rien une sacrée chute entre le premier film et le deuxième film de Roland Emmerich. Rien d'exceptionnel me dirait vous, sauf que chez la plupart des réalisateurs, c'est plutôt dans l'autre sens que ça se passe. La suite montrera d'ailleurs des tendances plus qu’inégale chez lui d'ailleurs.