L'Apollonide prend forme au crépuscule du XIXe et à l'aube du XXe siècle. Ce film français de Bertrand Bonello s'installe dans une maison close, vu et vécu par les yeux de la Dame et "ses filles".

On nous montre un aspect très particulier d'une maison close. Ainsi ces jeunes filles parlent de leur activité comme si il s'agissait d'un métier de vendeur comme un autre en employant le terme de commerce. Mais malgré tous ces beaux décors, ces parures, ces bijoux, se cachent l'enfermement, les maladies sexuelles et l'abominable perversité des bourgeois/aristocrates de l'époque.
La maison est bien close, aucune liberté n'existe.

Ici, l'érotisme sort victorieux d'un constant combat contre la pornographie. Des actrices émouvantes et nullement pudiques qui donnent une vision nouvelle de ce monde cloitré du XIXe siècle.
Par contre, l'un des points négatifs du film serait surement la longueur.
MHm
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le 23 sept. 2011

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