VU SUR LA PLATEFORME DE FRANCE TÉLÉVISION.
L'AFFICHE EST IMMONDE. NE VOUS Y FIEZ PAS.
Chaque semaine, France Télévisions diffuse un long métrage consacré à l’éducation nationale. Cela commence à faire beaucoup.
J’avais pourtant décidé de ne pas regarder L’école est à nous d’Alexandre Castagnetti.
Et puis, par simple curiosité, j’ai jeté un œil au casting.
Le nom de Sarah Suco a suffi : je n’ai pas hésité une seconde. J’ai lancé le film.
Pourquoi ? Parce que Sarah Suco, justement.
Cette actrice représente, à mes yeux, l’avenir du cinéma français.
J’aime sa manière de jouer, sa présence, ce feu intérieur qu’elle laisse affleurer sans jamais forcer.
Elle a quelque chose d’incandescent, de fragile et de vrai.
Chaque fois que je l’ai vue à l’écran, même dans un rôle discret, j’y ai trouvé du plaisir et de l’émotion.
L’école est à nous raconte l’histoire d’une jeune professeure de mathématiques, marquée par un drame, qui décide de s’occuper d’élèves pendant une longue grève.
Son idée ? Leur proposer de faire ce qu’ils veulent.
Le film est habilement mené : les jeunes acteurs sont convaincants, et la distribution qui entoure Sarah Suco est remarquable.
C’est un long métrage émouvant, qui aborde sans détour des sujets sensibles.
La fin n’offre pas vraiment de « happy end », mais elle laisse entrevoir une note d’espoir.
Et puis, il y a Sarah — lumineuse, habitée, bouleversante.
Elle porte le film sur ses épaules, elle en est le cœur battant.
L’émotion qui traverse l’œuvre vient d’elle, de son intensité, de sa justesse.
Elle a même réussi à me tirer une larme.
Merci, Sarah Suco.