No satifaction
A dire vrai, je ne connaissais des Rolling Stones que Mick Jagger... A cause d'un physique pas très Delon et (ou) de son côté extraverti, déguingandé. Je m'en faisais une faudde idée ; le mec semble...
Par
le 16 févr. 2023
Documentaire de Raphaelle Baillot et Elise Le Bivic (2022)
La manie perpétuelle des documentaires culturels présentés par Léa Salame de mettre en avant des anecdotes d'intervenants médiatiques assez insignifiants pour mieux parler d'eux même, plutôt que du sujet en question, est symptomatique de ces productions du service public qui fabrique du consommable pour ratisser le plus large possible.
De l'influence de leur séjour dans l'arrière pays nicois sur la musique des Stones, il n'en sera finalement que peu question, sinon pour rabâcher les semptirnels ragots sur les ravages de la defonce. Ainsi que leur volonté d'échapper au fisc britannique, en prime de la fascination des minettes de l'époque pour le culte Jagerrien.
On évoque rapidement les conditions d'enregistrement de Exile on Main Street, le tournant que cela a pu engendrer sur la conception musicale pour la suite de leur carrière. Rien de très probant qui pourrait démontrer en quoi la France reste un pays précurseur dans ce parcours mythique. Quelques archives sympathiques ou l'on entend le band (dans un français quasi parfait) déclarer son attachement à la liberté créatrice, à la rigueur. Et puis peut-être l'avènement d'un rock hexagonal puisant dans la simplicité de la composition Stonnesque pour ritualiser un style efficace. Rien de bien transcendant, en somme, bien que la finalité se laisse regarder avec une pointe de nostalgie plutôt tendre.
Créée
le 10 nov. 2022
Critique lue 49 fois
2 j'aime
A dire vrai, je ne connaissais des Rolling Stones que Mick Jagger... A cause d'un physique pas très Delon et (ou) de son côté extraverti, déguingandé. Je m'en faisais une faudde idée ; le mec semble...
Par
le 16 févr. 2023
Abderrahmane Sissako est l’un des rares cinéastes africains contemporains à pouvoir trouver sa place dans le gotha du « World Cinéma » et c’est cette reconnaissance, française en premier lieu, et...
le 15 déc. 2014
39 j'aime
6
Verhoeven se voudrait insolent et grivois, il n'est au mieux que pathétique et périmé. Son mysticisme atteint des sommets de kitch dans une parabole pécheresse qui manque clairement de chaire (un...
le 13 juil. 2021
37 j'aime
3
RETOUR SUR LE FILM par le compte Facebook D'images et de mots qu'on peut facilement trouver. Voici toutes les raisons pour lesquelles il hors de question que je perde mon temps avec ce truc. Et au...
le 5 sept. 2024
32 j'aime
4