le 15 juin 2016
C'est l'enfer de la mode
Beigbeder, Proust, l’univers impitoyable de la mode et des nichons : voilà, grossièrement, les mots-clefs de la communication autour du film L’Idéal. Et si la vague subversive n’était qu’un bad buzz...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
[N'ayant pas lu "Au secours Pardon", ce très bref argumentaire se réfère exclusivement au film]
Pourquoi je n'adhère pas à cette version d'Octave Parango ?
1) peut-être parce que l'univers dans lequel le personnage évolue est plus détestable encore que celui de la publicité et que, bien que certaines caricatures sonnent juste, une dénonciation plus sérieuse et moins bas étage aurait été la bienvenue,
2) ou bien parce que j'ai un souci avec Gaspard Proust que je trouve agaçant à l'écran (c'est très personnel et je ne me l'explique pas davantage),
3) ou peut-être encore parce que voir ce personnage (qui se veut cynique) essayer de se racheter une conduite en bon père de famille improvisé soudainement soucieux de la condition féminine est loin d'être convaincant...
Bien à vous,
Créée
le 6 sept. 2017
Critique lue 270 fois
le 15 juin 2016
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le 15 juin 2016
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