"Je peux vous mater pendant que vous baisez?"
Il a peut-être choqué un certains nombre ou attiré les curiosités mais ce film à marqué les spectateurs qui l’on vu. En effet, en matière de scenario, c’est un petit film banal qui se passe près d’un lac, quelques personnes le fréquente, se connaissent, se disent bonjour et puis d’un coup le drame. La différence est que ce film porte la représentation de la sexualité à un niveau beaucoup plus élevé que d’autres films sortis au cinéma récemment. On passe une grande partie à observer, à être témoins d’actes sexuels masculin. Aucune histoire d’amour, juste de la « baise ». Le réalisateur a su attirer notre curiosité, il a su nous donner les clefs pour apprécier ce film aussi. Tout repose sur l’excellent Pierre de Ladonchamps qui ose se surpasser, scènes après scène. Mais parfois, le sexe n’excuse pas tout, même si on en voit pendant une très grande partie du film, l’histoire, elle, a du mal à avancer. Une répétition des lieux, des habitudes, des conversations. Si bien que l’on s’éloigne petit à petit du sujet. Le film aussi se termine assez brusquement après une chasse à l’homme qui ne pèse pas beaucoup dans l’esprit du film.
Ce film, je m’en souviendrai, mais il ne m’a pas tellement surpris au point de me marquer.