Minato Mugino a un comportement qui devient préoccupant puis alarmant à la maison. Il avoue à sa mère que son professeur le harcèle... Celle-ci se rend directement à la direction de l'école.
Nouveau film de Hirokazu Kore-eda, Monster (renommé Innocence chez nous, un titre qui pour le coup tombe assez juste, il faut le souligner quand c'est le cas), qui a remporté le prix du meilleur scénariste, prix décerné donc à Yuji Sakamoto au festival de Cannes, m'a filé une belle claque. J'avais déjà été conquise par Kore-Eda avec son Une affaire de famille sorti en 2018, toujours avec ses thèmes difficiles mais où il s'en dégage une certaine luminosité.
Monster se construit via divers chapitres, divers points de vues. Au fil du métrage nous allons nous retrouver face à une structure narrative à la Rashomon de Kurosawa aussi utilisé par Ridley Scott pour son The Last Duel de 2021. Excepté qu'ici les différents points de vues vont au final s'imbriquer et non diverger, avec différents thèmes tous plus difficiles les uns que les autres dont Le harcèlement et la maltraitance.
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