C'est un étau qui se resserre.
Une fois un hélicoptère de l'armée des États-Unis abattu, tout le plan tombe à l'eau et la seule priorité devient : "il faut sauver les soldats encerclés".
Le réalisateur, pour une fois, même s'il met en avant le courage des soldats états-uniens, ne glorifie pas leur intervention.
Le spectateur a la sensation d'être pris dans la nasse, au même titre que les combattants et est convaincu qu'aucune intervention extérieure ne peut régler les problèmes d'un pays, quel que soit son régime.