La Belle Ingénue
Fritz Lang n'avait guère une haute estime pour La Femme au Gardénia, et c'est dommage car si l'oeuvre n'est pas essentielle dans la carrière de l'allemand, elle n'en reste pas moins intéressante à...
le 23 juin 2020
19 j'aime
2
P'tit thriller sympa en mode automatique.
Ce qui fait l'attrait, c'est la manière d'amener le meurtre et ensuite le fait qu'on suive cette meurtrière. La fin, hélas, gâche grandement le propos. Sinon l'on trouve quelques situations bien pensées et bien exploitées, avec des conflits et des résolutions adéquates. Les personnages sont sympathiques mais l'on a du mal à savoir quels seront les personnages principaux durant les 20 premières minutes à cause d'une mise en place un peu longue et de cette impression que le tournage a commencé avant de recevoir les détails du scénario.
La mise en scène est plaisante, classique, avec quelques idées visuelles chouettes ; le découpage et le montage sont dynamiques, bien rythmées, bien pensés. Les décors sont bien exploités. Les acteurs ont de bonnes gueules et délivrent une bonne performance.
Bref, dommage pour la fin trop "Hollywoodienne" comme on dit.
Créée
le 14 janv. 2020
Critique lue 211 fois
4 j'aime
D'autres avis sur La Femme au gardénia
Fritz Lang n'avait guère une haute estime pour La Femme au Gardénia, et c'est dommage car si l'oeuvre n'est pas essentielle dans la carrière de l'allemand, elle n'en reste pas moins intéressante à...
le 23 juin 2020
19 j'aime
2
P'tit thriller sympa en mode automatique. Ce qui fait l'attrait, c'est la manière d'amener le meurtre et ensuite le fait qu'on suive cette meurtrière. La fin, hélas, gâche grandement le propos. Sinon...
Par
le 14 janv. 2020
4 j'aime
Décidément je n'ai pas de chance avec les films américain de Fritz Lang autant je vénère ce grand réalisateur pour sa période allemande autant sa période américaine me déçoit heureusement que j'aime...
Par
le 20 déc. 2012
3 j'aime
11
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
121 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
115 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
103 j'aime
55