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Pas top
Le fond de l'histoire n'est pas inintéressant, et si vous parvenez à vous accrocher, le final n'est pas mal, mais c'est vraiment mal écrit et mal joué. L'enchaînement entre les scènes manque de...
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le 21 avr. 2025
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Ca ne sert à rien d’être fort comme un chêne...
Ca ne sert à rien d’être fort comme un chêne si c’est pour être con comme un gland !
Un film qui ne m'a pas fait grimper aux arbres, contrairement au détraqué mental de ce film qui abandonne ses gosses dans la forêt, fait ses emplettes avec eux, nu comme un ver dans un hyper, vole du bois et les rend complices...
Bon, vous comprenez le lyrisme d'emblée ! Et aussi sa haute valeur éducative : en vous mettant à la place desdits gosses auxquels les copains d'école ont stigmatisé l'instant et exhibent petits taquins qu'ils sont, leurs smartphones ayant photographié la zigounette de papa ! Consternant !
Pourtant, si quelque chose m'avait séduit à priori, c'était bien le titre de l'oeuvre, évoquant en moi Marcel Pagnol, Yves Robert, la poésie, le romantisme, le chant des cigales, le méchant qui est puni...
Mais cet espoir est resté vain, déçu : n'est pas Pagnol qui veut et Vero Cratzborn nous sert une bouillabaisse dans laquelle elle a oublié le poisson.
Son scénario est mal construit et je n'ai éprouvé aucune empathie pour les personnages de ce gloubi-boulga cinématographique... Pire, la réalisatrice belge aura peut-être réussi à réveiller et exciter les vils instincts pyromanes forestiers d'autres détraqués ... Merci de la part des pompiers belges et autres...
La réalisation est mollassonne, faite de plans inutiles, et c'est à se demander si par moments les acteurs savaient ce qu'ils jouaient !
La seule bonne chose du film, c'est Ludivine Sagnier mais dont le personnage n'est pas vraiment crédible : l’amour est décidément aveugle.
Bref, je n'ai ressenti aucune empathie pour cette famille Duraton ratée . Une mauvaise histoire belge : Pagnol peut dormir tranquille au fond de son cimetière marseillais de la Treille, cette mauvaise histoire belge sans poésie, tendresse, ni romantisme ne lui atteint même pas la cheville et le talent ne s'apprend pas.
Pourtant, ce film aurait été élaboré par la Femis dans le cadre de sa formation aux scénarii ai-je lu dans le générique ! Ben ça promet pas mal de faillites aux producteurs de films ; 8 700 spectateurs en salles...
La trois (RTBF) le 13.10.2022-
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le 15 oct. 2022
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