Depuis le scandale du Fappening, on ne peut plus regarder Jennifer Lawrence de la même façon... Surtout quand elle arbore le même âge et un look similaire aux fameuses photos, comme dans "House at the End of the Street" (sorti en salles en 2012 grâce au succès de J.Law mais tourné en 2010). On retrouve donc une Jenny encore très jeune, aux rondeurs adolescentes que peinent à camoufler ses jeans serrés et ses tops moulants.
Quant au film proprement dit, la référence du titre et l'emballage semble le positionner sur le créneau horrifique, alors que "House at the End of the Street" est surtout un sympathique petit thriller, avec quelques touches d'épouvante ici et là.
Personnellement, j'ai passé un bon moment devant ce divertissement efficace, car la plupart des clichés absurdes du genre sont évités (pas tous!), et car les rebondissements du scénario apparaissent plutôt pertinents et inattendus.
De plus, le réalisateur britannique Mark Tonderai est parvenu à réunir un casting de vrais bons comédiens autour de Jennifer Lawrence, à l'image d'Elizabeth Shue ou Gil Bellows, mais aussi de la découverte Max Thieriot.