Ne pas plier
Finesse du tableau représentant de manière exemplaire les dégâts du racisme ambiant sur la communauté noire, minant le tissus social. La violence n'est jamais graphique*, toujours verbale, sans aucun...
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le 4 juin 2024
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D'une esthétique picturale régulièrement étonnante (Ecole poétique de Kiev). On retrouve le caractère visuellement audacieux rencontré dans "Les chevaux de feu" (plans-séquences en caméra portée ou embarquée à cheval, montage "clipesque-avant-l'heure" centré sur un protagoniste en panique, fantasmagorie en négatif avec filtres colorés, cérémonie dans les entrailles d'une caverne éclairée d'une multitude de bougie...). Récit assez hermétique, voire très ennuyeux pour peu que l'on passe à côté du second degré comme ce fût mon cas, empruntant aux contes populaires, éventuellement métaphysique (Gogol) et satire politique nationaliste.
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Créée
le 10 mai 2024
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Finesse du tableau représentant de manière exemplaire les dégâts du racisme ambiant sur la communauté noire, minant le tissus social. La violence n'est jamais graphique*, toujours verbale, sans aucun...
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le 4 juin 2024
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(Vu version de 120 min et non la longue de 5 heures*)Au-delà du choc terrible provoqué par l'immersion dans le dénuement le plus frontal de ces campements misérables, et la violence absolue de...
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le 13 janv. 2024
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Curieux comme il arrive que l'on fasse parfois se succéder au visionnage, par pur hasard, des films se répondant. Je savourais il y a deux heures l'animiste "Hors Satan" et voilà que reviennent tel...
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le 29 sept. 2023
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