J'ai vécu.
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Cherchant du positif dans ce film (puisque même un navet mérite l’appellation), je pourrais bien mettre en avant les décors et les costumes assez immersifs de cette histoire, sur l'ambition inconditionnelle d'une mère pour son fils dans l'entre deux guerres et pendant la deuxième guerre mondiale. Le biopic a énormément de potentiel mais le film manque de relief en s'attachant trop au relationnel fusionnel, comme si cela pouvait expliquer l’œuvre d'un artiste, qui se limiteront donc pour ce film, à l'ambition d'une mère (comme si toutes les autres n'en demandaient pas moins pour leurs propres progénitures)... Ou alors est-ce les interminables digressions sur l'enfance qui m'ont fait passer à côté de choses plus essentielles? Pour ma part, je le classe dans mes oubliettes, peut-être me touchera t-il plus dans quelques années, ce dont je doute, puisque la promesse de l'aube est que tous les matins du monde sont sans retours...
Créée
le 15 avr. 2018
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