Je ne peux nier certaines qualités évidentes comme un environnement bien présenté ou encore des thèmes abordés, mais sans jamais que cela étonne ou apprenne (un rebondissement au milieu de l'histoire).
La réa s'illumine vers la moitié, le cadre enchante par moment, tout se passe entre les sous-entendus des dialogues.
Les anglais tirent la gueule car ils sont en territoires inférieurs et les indiens font l'inverse parce qu'ils sont bien obligés, se soumettre aux moindres petites exigences des blancs.
Les occidentaux contrôlent tout en ces terres mais leurs femmes ne comptent pas s'assimiler à ces pratiques, elles voient des gens dévoués à eux ainsi qu'un monde qui les appelle à sortir d'elles-mêmes.
L'Inde est confuse, elle doit disparaitre au profit d'une nouvelle Angleterre qui se crée au milieu de la végétation et des mosquées, pourtant par exemple le professeur Aziz n'a que de l'admiration pour ses colons raffinés, d'autres autochtones ne s'intéressent même plus à leur propre culture.
Les vécus s'entremêlent : les catégories disparaissent en soi.
Et c'est peut-être de là que vient le mystère des ses périodes, des peuples qui se regardent et n'arrivent pas à savoir si ils doivent s'aimer, se repousser, s'entre profiter ou se subir, une chose est sur.... les individualités n'en ressortent pas intactes.