D'origine taïwanaise, Juan Martin Hsu s'attache dans son premier long-métrage à quatre personnages immigrés (Corée, Taïwan, Bolivie) qui travaillent dans ou en marge du plus grand marché de produits illégaux de Buenos Aires, La Salada, lequel donne son nom au film. Tout est un peu attendu dans un style lent qui respecte les désirs des personnages, tous en attente, d'amour, de travail, de reconnaissance, mais cela reste relativement pauvre sur le plan scénaristique d'autant que la mise en scène est terriblement lymphatique. Cette salada manque de condiments et d'assaisonnement.

Cinephile-doux
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le 27 avr. 2020

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