Ma Palme d'Or 2022
Lukas Dhont a vraiment l'art de choisir ses vedettes principales, on l'avait remarqué avec Girl (dont Victor Polster était l'âme pure), et ce Close nous le confirme avec ce jeune Eden Dambrine qui...
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le 29 mai 2022
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Le graphisme nous rappelle de loin les styles "city street" (les graphs à la Gorillaz avec les yeux vides, les traits anguleux, mais les contours en moins) et l'intrigue tourne autour d'une quête initiatique pour un jeune ado, qui va devoir affronter ses peurs (et des zombies). On lui dit de ne pas y aller, il y va, il y a des monstres étranges, il doit s'échapper. Le scénario nous a paru vraiment facile. On ne s'est jamais attaché ni au personnage, ni au style de dessin, ni à la musique (pénible), ni à l'intrigue simpliste, on n'a pas été pris dans le délire. Plusieurs fois primé, nommé aux Césars 2021, on a vraiment l'impression d'être passé à côté du code d'accès à un petit bijou, que l'on recommandera tout de même, on ne sait jamais (les goûts et les couleurs). Comme une soupe aux orties, certains aiment, d'autres non.
Créée
le 11 avr. 2021
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le 29 mai 2022
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le 29 juil. 2021
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