Malgré les arrangements inévitables avec l'œuvre d'origine, la première moitié se regarde plutôt bien, aidée par une réal efficace. Mais le côté américain prend le dessus pendant la seconde moitié : non seulement le comte n'est plus cette machine froide et terrible, mais il développe une relation avec Jacopo qui vient l'humaniser, Mercedes capte tout tout de suite, et sa vengeance est ridiculement facile. Bref. Toute la complexité de l'œuvre est mise à la poubelle pour finir dans un pardon chrétien et familial. Dommage. Reste Henry Cavill tout jeunot ^^