De retour de captivité, Ernesto découvre un Turin en ruines. Sa mère est morte, sa soeur se prostitue. Présenté à Cannes en 46, ce film de Lattuada, encore jeune réalisateur, est fort intéressant. Une tentative de mélanger néo-réalisme et atmosphère de film noir. La dernière partie, qui semble vouloir imiter les films américains de gangsters gâche un peu la première bonne impression. Interprétation aux taquets de l'excellent Amedeo Nazzari et de LA Magnani.

Cinephile-doux
7
Écrit par

Créée

le 31 juil. 2019

Critique lue 275 fois

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 275 fois

2

D'autres avis sur Le Bandit

Le Bandit

Le Bandit

le 29 juin 2021

2 films en 1 ?

Durant 1h20 on suit le parcours d'un prisonnier de guerre italien revenant au pays, Le Bandit est un film divisé en 2 parties car malgré sa courte durée la fin de la première partie est signalée par...

Le Bandit

Le Bandit

le 31 juil. 2019

Turin en ruines

De retour de captivité, Ernesto découvre un Turin en ruines. Sa mère est morte, sa soeur se prostitue. Présenté à Cannes en 46, ce film de Lattuada, encore jeune réalisateur, est fort intéressant...

Du même critique

Anatomie d'une chute

Anatomie d'une chute

le 28 mai 2023

Procès d'intentions

Depuis quelques années, le cinéma français, et plus particulièrement ses réalisatrices, trustent les lauriers dans les plus grands festivals. Au tour de Justine Triet d'être palmée à Cannes avec...

France

France

le 25 août 2021

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

The Power of the Dog

The Power of the Dog

le 25 sept. 2021

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...