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Festen alpha
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Le Garçon qui marchait à reculons par Ygor Parizel
On décèle dans ce moyen-métrage déjà ce qui fera le style de Thomas Vinterberg, enfin surtout des premiers. Tragédie familiale via une célébration (un anniversaire), étude sur le deuil ainsi que l'écriture si personnelle de l'auteur en ce qui concerne les dialogues. Visuellement aussi on peut apercevoir les prémices de ce qui fera les mérites du réalisateur danois même si il se permet plus de fantaisie que dans le Dogme 95. Pour finir, je précise que le gamin qui joue petit héros de ce film est très bien.
8
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le 25 sept. 2017
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