La fin d’un monde
Avant d’être un film, Le Guépard est l’unique roman d’un extravagant écrivain. Giuseppe Tomasi, 11e prince de Lampedusa et 12e duc de Palma, et le dernier mâle d’une famille que des biographes...
le 16 mars 2020
73 j'aime
12
Pour résumer :
Très lent au départ, un style très académique même si très juste.
La séquence des Milles qui ne sert que de peintures à une fresque qui n'en avait pas réellement besoin.
Une pellicule qui parait légèrement vieilli contrairement à celle du cinéma italien ou français de la même époque, sûrement pour renforcer l'aspect classique du film.
Mais finalement une seconde partie formidable, pleine de mélancolie dans une époque qui résonne étrangement avec la nôtre...
Créée
le 24 août 2021
Critique lue 57 fois
D'autres avis sur Le Guépard
Avant d’être un film, Le Guépard est l’unique roman d’un extravagant écrivain. Giuseppe Tomasi, 11e prince de Lampedusa et 12e duc de Palma, et le dernier mâle d’une famille que des biographes...
le 16 mars 2020
73 j'aime
12
J'avais envie de jacter de "Apocalypto" de Gibson et je me suis dis non, dis deux ou trois mots sur "Le Guépard" d'abord, ça parle de la même chose : du monde qui bascule. Quand on me parle de cinéma...
Par
le 27 oct. 2013
60 j'aime
13
Quelle claque ! À peine remis de La Dolce Vita de Fellini, voilà Visconti qui me met face à Le Guépard, oeuvre d'une immense richesse, défiant l'épreuve du temps et s'approchant de la perfection,...
le 14 sept. 2015
57 j'aime
17
Du même critique
Que dire de Aronofsky... Ah le synopsis était tellement vendeur je me suis laissé tenter. Il y a de bonnes idées mais il y en a aussi de moins bonnes. Le réalisateur va trop loin dans son délire...
Par
le 16 janv. 2020
2 j'aime
4
Le changement de réalisateur n'a pas profité au film... Cadrage avec des effets dérisoires. Le film s'étire beaucoup en longueur (et j'aime beaucoup des films comme Accatone, The Assassin ou Il était...
Par
le 2 juin 2020
1 j'aime
3
Ça pique les yeux dans tous les sens. Esthétiquement même si il y a quelques compositions qui se tiennent cette saturation des couleurs en devient presque criarde. Cinématographiquement, beaucoup de...
Par
le 5 juin 2020
1 j'aime