le 8 juin 2017
Tarde avec elle
Chez Hong Sang-soo, le dispositif est souvent minimal, est mieux vaut être averti : son récit ne cesse d’aborder les mêmes questions, celle du marivaudage ; son exploration fonctionne toujours sur le...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Critiques
le 8 juin 2017
Chez Hong Sang-soo, le dispositif est souvent minimal, est mieux vaut être averti : son récit ne cesse d’aborder les mêmes questions, celle du marivaudage ; son exploration fonctionne toujours sur le...
le 26 févr. 2020
Je crois vraiment que Hong Sang-Soo, réalisateur que j'ai longtemps boudé est en train de devenir l'un de mes réalisateurs préférés. En fait son film Grass m'a donné les clés pour bien comprendre son...
le 12 juin 2017
Le sillon creusé par l'inlassable Hong Sang-soo peine à dévier de sa trajectoire : le metteur en scène ultra-prolifique recycle et ressasse ses motifs jusqu'à l'ivresse, addiction partagée par ses...
le 10 juin 2017
Il faut se tenir au courant des potins entre les stars coréennes pour comprendre la finalité du dernier film de Hong Sangsoo. L'affaire a fait du bruit en Corée, l'actrice Kim Minhee (vu récemment en...
le 13 juin 2017
Sélectionné à Cannes et injustement boudé par le jury, Le Jour d’après, nouvel opus du prolifique Hong Sang-soo, prolonge sa fresque des vertiges de l’amour. Film aux accents de conte moral...
le 7 juin 2017
LE JOUR D'APRES (12) (Hong Sang-soo, Sud-Coréen, 2017, 92min) : Ce drame contrasté traite des jeux de l'amour, du hasard et du réel par le biais d'un patron d'édition qui a eu une relation adultère...
le 5 juin 2017
Visuellement paresseuse et moralement rebutante, cette succession de saynètes antipathiques rend la romance détestable, sous couvert d’observation de la nature humaine. Le dernier long-métrage de...
le 14 juin 2017
Le Jour d'après était un film que je voulais absolument voir, malgré une bande-annonce peu séduisante avec une musique oppressante. Pourtant, il s'en dégageait une sorte de magnétisme et la...
le 13 juin 2017
Je dois avouer une sensibilité particulière au cinéma de Hong Sang-Soo, qui me rend partial quand il s'agit de ses films : pour moi, il représente un point d’équilibre assez parfait entre les...
le 16 oct. 2017
Quand l'on aborde la quarantaine, on déserte les films bruyants, bouffis de SFX debiles, et sans violence ... Et fôrce est de constater que j'ai vrâiment pris de l'âge ... Içi, Il n'y a pas de coups...
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