6
Le pouvoir du cinéma
Je n'ai pas compris grand chose, et je crains qu'il n'y ait pas grand chose à comprendre. J'ai l'impression qu'Eisenstein a voulu montrer de quoi le cinéma était capable, et il s'amuse avec son...
Par
le 6 janv. 2015
3 j'aime
Il y a un clown. Il semble avoir le pouvoir de se transformer en différentes choses, pour peu qu'il fasse des galipettes. Par exemple un âne, pour aider un ami en retard. Ou un bébé, pour qu'une jolie jeune femme le serre dans ses bras. Mais la forme est franchement déroutante, il y a des personnages qui apparaissent et disparaissent sans qu'on sache ce qu'ils font là.
Franchement étrange.
Franchement étrange.
4
Écrit par
Créée
le 27 janv. 2015
Critique lue 261 fois
D'autres avis sur Le Journal de Gloumov
10
Une bouffonnerie
Une bouffonnerie qui, de par ses "effets spéciaux" due, à l'époque, "désopiler" (oui je viens de l'inventer) le spectateur qui découvrait le cinéma lors de fêtes foraines.Remarquez que c'est tourné...
le 8 juil. 2025
1 j'aime
7
Critique de Le Journal de Gloumov par Le-Maitre-Archiviste
Première plongée dans la réalisation pour le tout jeune Sergei Eisenstein, qui signe un court métrage inséré dans la représentation d’une pièce d’Ostrovski en 1923. Première création, certes peu...
le 6 mars 2023
Du même critique
5
Tout ou rien...
C'est ce genre de film, comme "La dernière tentation du Christ" de Scorsese", qui vous fait sentir comme un rat de laboratoire. C'est fait pour vous faire réagir, et oui, vous réagissez au quart de...
Par
le 6 sept. 2013
59 j'aime
10
5
C'est beau, c'est très pensé, mais...
Milieu des années 1970 dans la banlieue de Seattle. Un mal qui se transmet par les relations sexuelles gagne les jeunes, mais c'est un sujet tabou. Il fait naître des difformités diverses et...
Par
le 24 nov. 2013
45 j'aime
6
5
Fatigant...
"Crossed" est une chronique péchue, au montage saccadé, dans laquelle Karim Debbache, un vidéaste professionnel et sympa, parle à toute vitesse de films qui ont trait au jeu vidéo. Cette chronique a...
Par
le 4 mai 2014
42 j'aime
60
