Aube d’orée
Revigorante rupture que celle opérée par Ryusuke Hamaguchi : après des films volontiers verbeux et littéraires, explorant les complexes oscillations des rapports humains et amoureux, Le Mal n’existe...
le 14 avr. 2024
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4
Ryusuke Hamaguchi sait filmer la nature. Il sait aussi filmer le quotidien des habitants d’une petite ville du Japon, et leur colère à l’arrivée d’un glamping (un camping glamour), et tout ce que cela implique de changements. Dommage qu’il se laisse complètement aller dans le dernier tiers, et ne sait pas quoi faire de ses personnages. Son ode à la nature et à la contemplation des petites choses se transforme un peu trop radicalement à mon goût (j’ai d’ailleurs rien compris).
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Créée
le 9 févr. 2025
Critique lue 41 fois
Revigorante rupture que celle opérée par Ryusuke Hamaguchi : après des films volontiers verbeux et littéraires, explorant les complexes oscillations des rapports humains et amoureux, Le Mal n’existe...
le 14 avr. 2024
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C'est la première fois (du moins à ma connaissance, en ne se basant que sur le fait que j'ai vu tous ses films que depuis Senses !) que le réalisateur Ryūsuke Hamaguchi ne situe pas principalement...
Par
le 11 avr. 2024
47 j'aime
6
J'étais enthousiaste à l'idée d'aller voir Le mal n'existe pas : un film japonais, contemplatif et esthétique, un conte écologique, le tout par Ryusuke Hamaguchi, le réalisateur de Drive my car, un...
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le 13 avr. 2024
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Un grand Kore-Eda qui traite encore une fois de l'enfance, un des sujets de prédilection du réalisateur. Le cinéaste fait de nouveau preuve d'une justesse incroyable, tant avec son sujet qu'avec ses...
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le 11 févr. 2025
2 j'aime
L’utilisation des codes du cinéma d’horreur donne lieu aux scènes les plus intéressantes de The Zone of Interest, notamment sur la partie audio. Dommage que la thématique du monstre ordinaire...
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le 9 févr. 2025
1 j'aime
Je vois ce que Coppola essaye de dire, et il y a presque quelque chose de touchant dans la naïveté de son propos. Mais quel bordel ! Personnellement, j’ai arrêté de donner un sens à ce que je voyais...
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le 9 févr. 2025
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