Haneke construit une immersion étouffante ou la lenteur devient une source de malaise profond.
Le septième continent dépeint l'image d'un ailleurs, un autre monde, un espace de fuite que la famille finit par atteindre en s'autodétruisant.
Ce film offre un portrait glacial de la famille moderne, ou l'aliénation pousse à l'effacement.
Créée
le 16 juil. 2025
Critique lue 3 fois
Un film hautement provocateur et pourtant munit d'une grande subtilité, "Le Septième Continent" dérange, en profondeur. Nourrit par un traitement clinique désincarnée annonçant dogmatiquement le...
Par
le 20 juil. 2012
34 j'aime
Lors d'un vol Paris-Stockholm, j'étais assis à côté d'un homme rougeaud, très sportif, avec le crane dégarni et une moustache. Il ne tenait pas en place, et me racontait qu'il allait chasser en...
Par
le 18 nov. 2012
18 j'aime
5
Je constate avec amusement que Haneke réalise ses films de la même façon depuis ses débuts ! Du moins pour le cinéma ; ce serait fou que les téléfilms sur lesquels il s'est fait la main soient du...
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le 18 févr. 2013
9 j'aime
Les non dits pèsent lourd et il y a le temps qui passe et cette impression de tourner en rond tout le long du film.Le spectateur lui même est en quête de sens. Pour ma part ,superposer la mythologie...
le 4 juil. 2025
Un fourmillement d’idées. Elles arrivent elles défilent devant ta gueule. Les dialogues entre Paul et Madeleine. La scène où paul distrait un américain tandis que son copain tague sur la voiture ou...
le 3 juil. 2025
Ce film est ma marya
le 2 juil. 2025
