La fille qui court
Le monde se divise en deux catégories : ceux qui aiment Anaïs Demoustier et ceux qui ne la connaissent pas (un petit plus nombreux, peut-être). Pour les premiers, Les amours d'Anaïs, titre parfait, a...
le 16 sept. 2021
18 j'aime
Avec son désir comme unique boussole, Anaïs nous magnétise. Mais le réel se rappelle à elle, et le film à nous. À trois, on n'ira pas.
Le monde se divise en deux catégories : ceux qui aiment Anaïs Demoustier et ceux qui ne la connaissent pas (un petit plus nombreux, peut-être). Pour les premiers, Les amours d'Anaïs, titre parfait, a...
le 16 sept. 2021
18 j'aime
Anaïs la trentaine en thèse de littérature est jolie. Elle dit tout ce qu'elle pense, ressent. Non certaine d'être amoureuse de son chéri : ni une ni deux elle s'en sépare et rencontre un éditeur,...
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le 25 sept. 2021
17 j'aime
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Les amours d'Anaïs est un film pour moi, il y a Anaïs Demoustier, elle joue son rôle de fille pétillante un brin fofolle et désordonnée que j'aime bien et elle est à poil la moitié du...
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le 16 déc. 2021
8 j'aime
1
Pendant petit-bourgeois de Welcome. La question des « sans-papiers » réduite aux imbroglios administratifs et petites lâchetés quotidiennes.
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le 12 avr. 2025
1 j'aime
À l'exception de quelques scènes, l'indéniable prouesse technique n'est qu'un écrin numérique clinquant d'un film mielleux et sans âme.
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le 12 avr. 2025
1 j'aime
Des saynètes maniérées et peu inspirées, des dialogues moins justes, un réel qui s’absente : la sincère singularité de Dolan semble tarie.
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le 12 avr. 2025
1 j'aime