le 31 janv. 2021
Rudes Afghans
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Ce film se déroule en 1970 en Afghanistan. Si on ne voyait pas un avion volé dans les airs, il serait impossible de dater les cavaliers. Ce long métrage raconte une course de chevaux à Kaboul. Le réalisateur commence par le choix du cheval, un étalon blanc. Le personnage interprété par Jack Palance ( un de ses meilleures rôles), un sage choisi pour monter l'animal son fils. Le fils est jouer par Omar Shariff. Son personnage est fier, ne pense qu'au jeux. C'est lui qui va devoir représenter les couleurs du village pendant la course.
La course est une scène d'anthologie, un morceau de bravoure. Je comparerais cette scène à celle de la la course de char dans Ben-hur. Elle est démente. Elle dure un peu plus d'une dizaine de minutes, elle est d'une grande violence.
Ensuite l'histoire nous raconte le retour du fils. Je n'en dirai pas plus. Le long métrage dérape de belle manière vers le métaphysique.
Les cavaliers est un film épique comme on en fera plus jamais. C'est dommage, car le plaisir est décuplé. On parle peu de ce film immense. Il est à réhabiliter d'urgence.
Créée
le 27 mars 2025
Critique lue 15 fois
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