Étonnant à quel point ce récit de triangle amoureux (aux motifs rétrospectivement très Miyazakiens) se trouve monté de façon fragmentaire, en séquences ne dépassant presque jamais une minute. Malgré toute l'intelligence et la sensibilité du regard, on a l'impression d'assister à une sorte de long résumé, tant les éléments narratifs s'enchaînent sans presque jamais prendre le temps d'installer un moment, un espace, une ambiance, une texture. Le résultat est finalement très cérébral. Étonnant.

clmz
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le 23 mai 2024

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