le 15 août 2018
Pour trois kopecks de jalousie
Drozdnycheff, débauché notoire, est traumatisé par le suicide de son meilleur ami, dont il a séduit la femme. Parmi la petite dizaine d'adaptations de La sonate à Kreutzer de Tolstoï, le film de...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Drozdnycheff, débauché notoire, est traumatisé par le suicide de son meilleur ami, dont il a séduit la femme. Parmi la petite dizaine d'adaptations de La sonate à Kreutzer de Tolstoï, le film de Dréville est la plus connue mais on ne saurait affirmer que c'est la meilleure (il serait curieux de voir la version de Rohmer, de 40 minutes). Ce drame romantique soumis aux affres de la jalousie a été tourné à Joinville-le-Pont et son caractère russe ne s'exprime guère si ce n'est par les patronymes des personnages et les paiements en roubles et kopecks. Outre un scénario guère subtil et univoque, l'un des reproches majeurs concerne l'âge et l'interprétation des deux héros, Jean Yonnel (fade) et Gaby Morlay (mal à l"aise). Cette dernière est censée jouer une jeune fille lors de sa rencontre avec son futur mari. Avec ses 45 ans, on a du mal à y croire. Dréville, honnête artisan, sans plus, réussit deux ou trois scènes, notamment au début du film. Et puis c'est à peu près tout.
Créée
le 15 août 2018
Critique lue 214 fois
le 15 août 2018
Drozdnycheff, débauché notoire, est traumatisé par le suicide de son meilleur ami, dont il a séduit la femme. Parmi la petite dizaine d'adaptations de La sonate à Kreutzer de Tolstoï, le film de...
le 28 mai 2023
Depuis quelques années, le cinéma français, et plus particulièrement ses réalisatrices, trustent les lauriers dans les plus grands festivals. Au tour de Justine Triet d'être palmée à Cannes avec...
le 25 août 2021
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 sept. 2021
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique