Pour flatter l'égo d'Arielle Dombasle, on a sûrement donné beaucoup de subventions à ce film alors qu'elle aligne quand elle le veut les bouses cinématographiques que je n'ai même pas regardé. Car oui, en plus d'être la réalisatrice, Dombasle est aussi l'actrice principale de cette adaptation de la nouvelle de Balzac sortie en 1839 sur cette Diane, une "Don Juan" féminine qui aligne les amants.
Franchement, le film est aux abois dans les décors qui sont franchement bâclés, ne parlons pas d'un jeu d'acteurs totalement à la ramasse (même le narrateur est mauvais - et sans halent). Bref, j'ai l'impression de voir un film historique réalisé par d'un étudiant en cinéma.
Ne connaissant absolument pas l'oeuvre de Balzac, et n'ayant très peu d'affinités avec les films historiques, je ne peux que souligner une succession de petites scènes qui s'accumulent et ne tiennent même pas la route du film.