Malgré un crise d’épilepsie

Quel enfer, Noé nous fait vivre un cauchemar. Entre les bruits incessants, les plaintes, les cries, les disputes, et tout cela d’un coup qui nous explose au visage, notamment grâce au split-screen qui nous fait aussi perdre la tête, on ne sait plus où regarder, nous nous retrouvons impuissants et dépassés face à ce chao porté par une Béatrice Dalle plus qu’irritée. 
La fin n’est que la rupture de nos nerfs, les flashs lumineux nous achèvent jusqu’à qu’on détourne le regard de l’écran.
Les bémols selon moi sont les 10 min de dialogue au début entre Béatrice Dalle et Charlotte Gainsbourg qui m’ont ennuyé. Et les citations qui n’étaient pas nécessaires  et même inutiles.