le 2 mars 2021
Le sexe des poussins
Minari ne manque pas de potentiel et aurait pu donner la trame d'un western, si l'action avait été transposée un siècle plus tôt. Cette chronique d'une famille coréenne immigrée, venue se frotter au...
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Ce nouveau drame de la formidable boîte de production A24 est un bijou de sensibilité. L'histoire de cette famille d'immigrés coréens venue vivre aux USA dans les années Reagan est attendrissante mais aussi parfois dure, car cette famille est dans la galère et tente de s'en sortir en devenant agriculteurs. Ce film fait vraiment penser au Néoréalisme italien des années 40, du côté de De Sica ou Rossellini avec la pauvreté, les boulots minables, les soucis de santé et même la ferveur religieuse mais il y a aussi des éléments plus positifs comme l'amitié, la famille et la solidarité. La réalisation est faite dans la sobriété malgré des scènes plus lyriques, avec des jolies images légèrement touchées par des effets visuels et un montage harmonieux. Les prestations des acteurs sont du même tonneau, certes deux ou trois engueulades brisent ce calme mais les personnages et donc les acteurs sont dans la modération et la résilience.
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Créée
le 14 déc. 2022
Critique lue 143 fois
le 2 mars 2021
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