Mouais bah, c’est un jeune benêt qui a disparu dans un état d’Amérique du sud sous le joug tout-à-coup d’une dictature brutale… son père (américain) fait le déplacement pour tenter de retrouver son fils en compagnie de sa copine (la copine du benêt, toujours sur place)… pendant qu’on dort (déjà) devant le film.
Bon, c’est vrai, il paraît que c’est tiré d’une histoire vraie mais si on est vraiment intéressé, on regarde directement un documentaire, de préférence bien documenté. Pas cette espèce de film à dormir debout, bien plus chiant qu’un documentaire de base. Il faut dire que le gars Costa-Gavras adore dénoncer ici et là dans ses films et il a (souvent) bien raison…
Mais qu’est-ce qu’il peut être chiant quand il s’y met, quand même ! franchement, c’est lourd, c’est d’une lourdeur ce machin de deux plombes qui semble en durer six (environ) ! d’ailleurs, j’ai laissé le bousin tourner, je suis allé couler deux bronzes (à la suite), puis je suis revenu : on en était toujours au même point : ils n’avaient toujours pas retrouvé le blaireau, celui qui faisait le mariole devant les militaires au début (un gilet jaune, vous croyez ?)…
Mais bon enfin bref, on ne va pas y passer la nuit ni épiloguer outre-mesure, puisqu’on a déjà arrêté ce film de merde, de toute façon. Et ouvert la poubelle. Et hop... porté disparu !