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Avec sa ligne narrative très claire et parfois un peu trop manichéenne, Moi, Daniel Blake a un côté un peu agaçant. Mais on finit par se faire entraîner par la dignité du personnage principal et la fraternité qui est au cœur de l’histoire de cet homme qui tente de se débattre dans un système de plus en plus déshumanisé, tout en aidant son prochain. Une belle Palme d’Or, qui fait aussi beaucoup réfléchir.


Critique complète : http://timfaitsoncinema.fr/film/moi-daniel-blake/critique/1172

TimFaitSonCiné
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le 1 nov. 2016

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