très mauvais

J'ai aimé Casino Royale comme un pur chef d'oeuvre à part entière.

J'ai même aimé la fin de Spectre, si ce n'est qu'à la fin, il fallait en finir avec Blofeld.

Mais ce Mourir peut attendre est mauvais!

1- trop long, trop long, trop long. Des séquences qui s'étirent sans fin au milieu et à la fin.

2- l 'espionne qui a le 007 quelques temps n'apporte rien et n'est qu'une volonté affiché au rouge vulgaire pour faire #metoo et compagnie!

3- le méchant est mauvais sans épaisseur et sans mobile

4- Ana de Armas est splendide et son rôle et sa présence méritaient d'en faire la seule et unique héroïne principale auprès de Bond.

5- Léa Seydoux a un regard vide et n'apporte toujours rien que l'ennui.

6- Madeleine n'a aucun lien réellement amoureux avec le personnage principal, c'est juste un effet scénaristique plaqué sans logique.

7- Ah! la mort de James Bond! Le gars a survécu à 26 films! Et là, d'un coup, alors qu'il se balade dans les couloirs de la base du méchant... ça y est, le méchant,qui aurait du être parti depuis longtemps, l'attend et lui tire dessus au hasard dans un décor d'une platitude complète.

8- Et pourquoi il meurt? Ah oui! on a inventé un pseudo virus même pas mortel qui l'empêche de toucher les gens qu'il aime. ("midas touch" adapté en virus). Bref, un bon truc bien tiré par les cheveux. Et le James Bond, au lieu d'aller revoir femme et enfant, préfère se suicider en laissant la destruction de la base se faire pendant qu'il y est! Destruction qui pouvait attendre au passage, car aucun compte à rebours ne faisait de cette base un danger imminent.

9- C'est mauvais, très mauvais. Les scénaristes semblent avoir bricolé un grand bazar incohérent. Et l'idée de faire mourir Bond venue de Daniel Craig est une pure trahison de l'esprit de la série. C'est mélanger du mauvais tragique et du très mauvais mélodrame avec de très mauvais coups du sort orchestrés à la va-vite.

10- La séance avant le générique d'intro est bien trop longue. C'est mauvais mauvais.

11- Sur 3heures de film, on ne retient que les dix minutes avec Ana de Armas, pétillantes, actives, glamour, réussies.