J’ai beaucoup aimé le travail d’Angela Robinson sur ce biopic qui retrace un pan de la vie du professeur Marston et la création de Wonder woman. Le film est réussie car il se concentre sur ses personnages, ses thématiques et la société dans laquelle ils vivent, dégagent une parabole sur notre monde actuel et renforçant le besoin d’avoir un personnage telle que Wonder woman comme icône pour bousculer les conventions sociales dans une société dominée par l’Homme ainsi que les cases dans laquelle les gens aiment se mettre. Même si la création de Wonder woman arrive seulement dans la deuxième partie, l’ombre et les valeurs du personnage sont présentes tout le long du métrage grâce aux ester eggs mais aussi par la représentation des deux personnages féminins, la femme du professeur Marston et sa conjointe jouer par Rebecca hall et Bella hearthcote montrant les deux facettes de Wonder woman : le caractère fort d’Elizabeth Marston et la naïveté/l’amour d’Olive Byrne.