Luc s'est encore torché avec la pellicule
Les 3/4 du film sont tellement lamentables qu'il est difficile de rester jusqu'au bout.
Entre le scénario profondément débile, les actions particulièrement stupides des personnages et la nullité absolue de la mise en scène et du réalisateur, on cherche désespérément à trouver comment "Nikita" a pu être un succès commercial.
Et puis, alors que l'on fini d'agoniser devant le vomi de Luc Besson, Jean Reno arrive, dans ce qui est une sorte de brouillon de Léon.
Ça ne sauve pas le film, ce n'est pas extraordinaire, mais la bouffé d'humour et le ton décalé de toute la séquence, trop courte hélas, fait un bien fou avant que finalement Besson retrouve sa médiocrité pour conclure.