Explorations diverses

Pour les amateurs, Daphné revêt à nouveau la tenue qu'elle affectionne, celle à peau et à poils, voire sans, un standard, donc rien d'original sur ce point.

Depuis ses débuts on la retrouve très souvent dans des situations légèrement scabreuses, pour le moins, appâtant le chaland, pour le plus.

Question: Choix de carrière, goûts personnels, on ne lui propose que ça, critère de sélection, voire, demande de sa part ?

Chloé fuit sa famille et se retrouve sans abri. Elle décide de se rendre chez sa sœur qui crèche de l'autre côté du pays (Grèce). En chemin elle rencontre un groupe d'enfants-perdus se déplaçant en camping-car, qui viennent en aide aux personnes en situation de précarité. Pas farouche, Chloé va se joindre à eux. S'ensuivra une errance à travers la Grèce, un parcours initiatique avec découverte de tout plein de choses, la liberté, le pays, les autres, la faim, la peur, l'amour, soi même...Chloé apprendra également à faire le poirier et conjointement, l'altruisme et la mycologie en pratiquant, en l'occurrence sur Nikos Zeginoglou, la détection d'une éventuelle hypertrophie de sa prostate, précédée d'une toilette de son sillon interfessier.

De mémoire il y avait une scène légèrement identique, et tout aussi inutile, dans un Emmanuelle, pas le dernier avec l'immonde Noémie Merlant, le IV je crois celui avec Fabrice Luchini, où Sylvia Kristel se transformait en Mia Nygren. A l'époque c'était l'acteur qui oeuvrait. Signe des temps, les rôles sont aujourd'hui inversés...l'émancipation.

Le film, dans son ensemble, ce n'est pas vraiment pas ma came, la Daphné non plus, je lui trouve un air vulgos, limite malsain et chaque fois que je la vois j'ai le même ressenti. Nikos Zeginoglou lui a vraiment une tronche de petit connard, mais je viens de me taper un autre voyage au soleil avec Le Routard du ''fameux'' scénariste des Tuche, d'Astérix, Obélix l'Empire du milieu...et Hakim Jemili, Clavier, Testot...m'ont tellement ennuyé, que je vais y coller 4 étoiles et puis c'est gratos et je fais ce que je veux, comme Daphné.