Jeong Yumi au casting ajoute un point à la note
J'ai jamais aimer HSS, mais à vrai dire ses deux derniers longs métrages m'avaient amusés par leur auto-dérision et leur humour. Oki est toujours aussi moche visuellement (moins de zoom foireux peut-être), mais c'est surtout le retour au HSS premier degré et nombriliste (période Nuit et jour), où quand tu croises une fille dans la rue tu laisses même pas passer une minute avant de faire remarquer que t'es réalisateur de cinéma (du genre artiste qui ne peut plus s'exprimer dans la conjoncture actuelle, parce que tu vois tu fais de l'Art).
Quand à la structure en 4 parties, j'en sais rien si c'est sensé faire sens, ou non. Dans le second cas c'est honnête mais inutile, dans le premier c'est prétentieux et raté.
Le pire, c'est que je l'ai vu deux fois, je dois être maso. Mais le revoir en salle m'a quand même permis d'être certain que la laideur des génériques (la chose la plus hideuse que j'ai vu au cinoche depuis bien longtemps) n'était pas du à un défaut d'encodage de mon divx.