Julie (en 12 chapitres) a fait l'unanimité a Cannes, son actrice principal a même reçu le prix d'interprétation, cela m'a donné envie de m'intéresser a la filmo de son réalisateur (Joachim Trier), j'ai choisi "Oslo, 31 aout" pour commencer sans regarder en amont le sujet de celui-ci.


Ce film est tout simplement remarquable, assez vite (au début du film) le personnage principal tente de se suicider, fin de cure de désintox, la trentaine est passé, amis en couple avec enfants, c'est au travers de discussions avec ses proches qu'ils remarque, nous fait remarquer de ses opportunités manqué, de ses années perdus sans pathos, sans rien de cela à travers une mise en scène simple mais terriblement efficace.


Joachim Trier capte avec maestria notre personnage principal joué d'ailleurs par (Anders Danielsen Lie) tient le même prénom (renforcement du réalisme), bon, l'acteur est excellent, il nous partage avec brio ses sentiments quand ils dialogues avec les autres, se rend compte de ses regrets, seul devant la caméra et ça durant 1h30 (Joachim Trier ne le quitte pas des yeux.


Ce que j'ai trouvé très fort c'est justement ce réalisme, "allez il sort de cure de désintox, il est peut être prêt a démarrer une nouvelle vie, reprendre contacte avec ses amis, peut être sa copine, avoir un travail, ça va être dure au début mais tu vas y arriver"
Et bien non car c'est loin d'être malheureusement toujours le cas et Trier nous le montre par plusieurs scènes en amont (Entretien d'embauche) de ce dernier plan fixe puissant.


Un grand film.

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le 21 avr. 2022

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Laplander

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