le 4 nov. 2016
Esprit es tu là?
À Los Angeles en 1967, une veuve et ses deux filles montent une arnaque pour escroquer ceux qui veulent entrer en relation avec leurs défunts dans l'au delà. Elles font involontairement entrer chez...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
On continue mon cycle Flanagan avec Ouija, les origines, pur produit de commande du studio Blumhouse, qui veut capitaliser sur le succès du 1er opus, production, parait-il, parfaitement dispensable mais avec un retour sur investissement avantageux (103M pour 5M investis).
Le coup de poker de Jason Blum est de filer le bébé à Flanagan, auteur remarqué (mais pas par moi à l'époque :) de Oculus, Hush et Before I wake, les 2 premiers étant déjà des productions Blumhouse. Pas un vulgaire yes-man quoi ! (et du coup, pas vraiment un coup de poker non plus ;).
Et le Mike, en composant avec les inévitables contraintes inhérentes au projet, arrive à pondre un film très recommandable : personnages attachants, esthétique vintage nickel (jusqu'aux fausses "brulures de cigarettes" dans le coin de l'image par moment) et bons moments de flippe. Le talent, quoi.
Au final, le film, pour un budget très similaire, fera un petit peu moins bien au box-office (rien de honteux non plus, quelque chose comme 83M) mais récoltera des critiques positives à la pelle, bien supérieures à son aîné.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 2016 et Les meilleurs films de Mike Flanagan
Créée
le 10 déc. 2017
Critique lue 1.1K fois
le 4 nov. 2016
À Los Angeles en 1967, une veuve et ses deux filles montent une arnaque pour escroquer ceux qui veulent entrer en relation avec leurs défunts dans l'au delà. Elles font involontairement entrer chez...
le 10 déc. 2017
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le 5 nov. 2016
Ouija les origines, c’est l’exemple typique du film qui ne réussit RIEN de ce qu’il entreprend, et dont on sort de la séance avec consternation. Remarquez, j’ai pu au moins bien rigoler dans la...
le 7 déc. 2015
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le 22 déc. 2018
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