Quand on aime, on pleure
Je voulais voir ce film parce que Amber à la réalisation. Même si je ne la vois pas, ce qui prouve bien que mon amour pour elle va au-delà de son physique. Après, c'est aussi pour Alia. Mais là par...
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le 16 juin 2018
Je voulais voir ce film parce que Amber à la réalisation. Même si je ne la vois pas, ce qui prouve bien que mon amour pour elle va au-delà de son physique. Après, c'est aussi pour Alia. Mais là par contre j'ai été un peu déçu. Il me semblait qu'elle était un peu plus ronde avant. J'ai été choqué de voir à quel point ses jambes étaient fines et ses fesses petites. Mais bon, elle est toujours aussi mignonne. Et puis elle est bonne actrice.
Le scénario est bien pourrave : ça parle de deuil, les conflits sont surtout internes, peu palpables. Pas vraiment d'objectif principal (faire son deuil, c'est toujours très vague), du coup on ne sait pas trop où on va; les auteurs ont bien introduit quelques éléments qui reviennent mais c'est assez faible. Dont cette rivalité entre la petite amie et la belle-mère et qui aurait dû permettre de structurer le récit ; hélas, c'est faiblement exploité et la petite gue-guerre s'avère ultra décevante. Les personnages sont pauvrement construits. Les flashback peu intéressants (le premier j'avais pas compris directement que c'en était un, du coup je trouvais intéressant qu'elle couche si vite avec un garçon... puis quand j'ai compris j'ai trouvé que c'était un peu inutile à mettre).
La mise en scène est intéressante. Un peu trop maniérée, on sent que Amber veut impressionner, veut faire la grande, et ça ennuie un peu. Mais on trouve tout de même de bonnes idées. Pour moi, la plus belle séquence, c'est celle du fondu enchaîné sur 4 visages : ce jeu de transformation fonctionne très bien. La musique est un peu trop larmoyante et appuie les défauts scéniques de séquences bien trop misérabilistes ou maniérées. Les deux actrices principales sont vraiment très douées (la gueule de la belle-mère fait peur aussi) ; les autres sont vite oubliés (sans doute à cause du traitement superficiel des personnages).
Bref, c'est pas génial mais on peu trouver quelques idées chatoyantes ici et là.
Créée
le 16 juin 2018
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