Papy fait de la résistance : En 1943, les Bourdelle voient leur maison réquisitionnée par les Allemands. Le fils Bourdelle, coiffeur très maniéré est en fait Super-Résistant, et complote contre les nazis pour la Libération.
Mouais, on peut pas dire que le film m'ait emballé.
Je n'avais jamais vu ce classique du cinéma Français, et il me conforte dans mon avis sur la troupe du Splendide : hormis Les bronzés font du ski, ils ne me font pas marré.
Le film se rapproche clairement de La grande vadrouille, mais il n'en a ni la finesse (oui oui), ni la drôlerie. Ici l'hystérie permanente est de mise, les scènes s'enchaînent mais sans âme réelle, et les blagues tombent à plat car l'écriture des dialogues ne les accompagnent pas dans une logique de loufoquerie qui aurait due être fine et cohérente.
On assiste finalement à un remake de l'excellent film avec De Funès et Bourvil, version grossière qui tombe à l'eau.
Le pompon étant quand même cette dernière scène sur un plateau télé qui résume parfaitement le film : beaucoup de bruit pour un résultat plus que médiocre. Un pétard mouillé grotesque.