le 7 juin 2018
Vampyr : The Masquerade
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For Honor, c'est à l'origine un jeu vidéo, développé par Ubisoft. Sortie le 14 février 2017, il était intéressant pour plusieurs raison :
Ceux, comme moi, ayant suivit le jeu un long moment avant la sortie du jeu, connaissait le type de visu : il participait aux promotions du titre, se démarquait du lot, mais surtout, avait finit par complètement disparaître des radars suite à la sortie du jeu.
Playing Hard, c'est l'histoire de Jean-Simon Chartier, qui a eu la possibilité de suivre, pendant 4 ans, l'équipe de For Honor, en passant par les différentes étapes :
Sur une durée de 1h30, le documentaire possède un bon rythme; on peut trouver dommages que certains aspects on été plus écourté (j'aurais personnellement voulu plus de temps sur la question du stress dans l'industrie, ou encore sur le développement des DLC et autres ajouts, car ayant suivi le jeu, malgré le succès critique, de nombreux soucis on touché le jeu, faisant que l'activité du titre a été en nette baisse), mais le tout tient la route, avec son début, milieu et fin visible.
Mais si vous n'avez jamais joué à For Honor, si vous n'avez suivi le jeu que très peu, je ne pense pas que vous serez perdu par le documentaire.
Evidemment, quand on connaît les développeurs et le jeu, on est touché, à les reconnaître, à les connaître un peu mieux, et la situation interne. Par exemple, le jeu devait contenir un mode écran-splitté. En raison d'un manque de personnels, pour respecter la date de sortie, cela a été abandonné. Chose qui n'a pas été mentionné, dans mes souvenirs, auparavant.
Donc si on se concentre sur l'histoire en lui-même du documentaire, en quoi est-il intéressant ? En quoi vaut-il le coup d’œil ? Pourquoi devriez vous vous y intéresser ?
Déjà, il est intéressant car c'est un documentaire sur le jeu-vidéo. Mais plus spécifiquement, un documentaire sur un projet long et coûteux, du début à la fin, présentant ses acteurs; et cela, c'est encore rare dans l'industrie. Il y a Indie Game : The Movie qui est très connu, mais il existe quand même très peu de documentaire sur le sujet.
Deuxièmement, cela vaut le coup d’œil car le développement d'un projet, et l'industrie en général, commence à être de plus en plus médiatisé : la difficulté à faire aboutir un projet, la question du créateur dans le développement d'un jeu (combien de directeurs peut-on citer dans les jeux grands public ? Surtout dans les jeux Ubisoft ?), du coût humain du projet : stress, voyage loin de sa famille, dissension interne. Même s'il existe des articles encore plus profond sur les soucis de certains projets qui se sont vraiment cassé la gueule (je vous conseilles les articles sur Kotaku par Jason Schreier sur Anthem ou Mass Effect : Andromeda), le fait que cela soit un documentaire rend la chose simplement plus vivante.
Et la chose la plus vivante, c'est Jason. Jason, c'est la personne la plus développé dans le documentaire, décidant de prendre partie, si l'on peut dire, envers son créateur artistique, et sa vision du jeu, du divertissement, ou de son jeu. Une vision que j'ai trouvé touchante. Même si l'on peut se demander quel est la vérité derrière le personnage (dégagé de l'avenir de For Honor car trop autoritaire ? Pas un assez bon manager ? Il le dit lui-même, il n'est pas un bon soldat obéissant, et qu'en lui, sa manière de faire, rend les gens apeuré. à tord ou à raison.), il reste que j'ai une certaine empathie, pour le bonhomme.
Je n'aurais pas l'audace de dire qu'il avait l'aura d'un Hideo Kojima (il n'aura jamais cet impact, rien que parce qu'il n'a jamais véritablement pu signer son jeu, et que l'avenir se fera sans lui). Mais on doit reconnaître qu'il y avait une tête créatrice derrière ce titre. Comme, on peut le supposer, dans chaque projet de jeux-vidéo.
Mais tous les projets ne réussisse pas, mais surtout, tous les créateurs ne réussisse pas à être immortel. Félicitation quand même à Jason, car son oeuvre a le mérite d'avoir été couverte, puis monté, présenté au cinéma, puis diffusé sur Netflix. L'immortalité, il l'a au moins touché du bout du doigt. Et j'en veux plus, des documentaires comme ça.
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Créée
le 10 avr. 2019
Critique lue 465 fois
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