Encore un film que j'ai lancé sans rien en savoir et sans aucune attente, un samedi après midi pluvieux.
Le film m'a divertit mais je suis très bon public.
J'ai bien sûr relevé tout ce que notent les autres critiques mais pour ceux qui n'ont pas d'attentes élevées vous passerez un moment sympa.
Bon j'avoue, ce qui commence vraiment mais vraiment à me faire hurler dans les films américains, c'est que tous les personnages sont riches, et pas un peu hein, non non, hyper riches.
Et dans sa bande de potes, tous ont réussi aussi, pas autant que lui, faut pas déconner, mais sûrement mieux que vous et moi.
Bah ouais on est pas américain.
Ah oui il y a tout de même le poto alcoolo, mais une p'tite cure et il sera refait.
Ouais ça m'a vraiment agacé.
Pas le scénar vu et revu, pas le visage figé de Russell, mais cet étalage de tout ce que l'hyper fric peut offrir.
Voitures de légende hors de prix, maison high tech, appart surplombant Sydney, vins cigares must du must et surtout, l'Art pour soi même.
Bah oui quand tu peux t'offrir une toile impressionniste à 200 000 000 millions de dollars tu partages pas.
C'est que pour ta gueule.
Alors à l'heure où des milliards de gens dans le monde prennent conscience de l'accumulation de richesse d'une poignée au détriment de la majorité, faut quand même oser.
Parce que son histoire à Russell, aurait tout aussi bien pu se dérouler dans la classe moyenne, même chez les pauvres mais non, Russell, i se voit au sommet de la pyramide, bien gras qu'il est.
Oui je sais on a dit pas le physique, veuillez m'excuser.
Enfin voilà ce que m'a inspirée Poker face.
Mais pour un après midi pluvieux ça passe