N'est pas chien qui veut

Depuis quelques années, on a la chance de voir de plus en plus de film japonais ou coréens à l'affiche de grands cinémas, même en dehors de Paris. C'est quelque chose qui fait vraiment plaisir d'autant que les VO sont également proposées. (A savoir que j'ai toujours préféré les films asiatique en VO plutôt qu'en VF. Il y a quelque chose dans la culture japonaise ou coréenne qu'on ne peut pas vraiment traduire correctement en français.)

Quand j'ai vu qu'un film de ce genre sortait près de chez moi et qu'en plus il y avait Lee Sun-Kyun dedans, j'étais aux anges. (Par contre, ça a été moins drôle lorsque j'ai fait des recherches pour savoir quels autres films il avait tourné ces dernières années et découvrir ainsi qu'il a mis fin à ses jours à cause d'une prétendue histoire de drogue. Il a été blanchi par la suite, mais le mal était fait).

J'étais dans une grande salle, avec un film coréen en vost :D Instant magique. Bon... Maintenant le film... TT Le film avait du potentiel.

Je suis assez bon public mais malheureusement, il ne m'a pas embarquée, comme j'aurais aimé l'être. Il y a de bonnes idées dans le lot, seulement il y a aussi pas mal de coup dans l'eau. Et, personnellement, je suis plus à même de croire l'existence d'une créature représentée par une marionnette que par des effets 3D CGI moyens. J'attendais quelque chose de plus crédible globalement, avec des enjeux plus poussés autour des chiens "méchants" ou "créés pour l'être" ? Une petite déception à la fin du film donc, mais un bon petit "moment télé" ;)